-
Olivia Ruiz continue d’imaginer la vie de ses grands-parents qui ont fui le franquisme dans les années 90.
D’une écriture fluide, vivante, imagée, elle donne cette fois la parole à Carmen, qui va connaitre des moments sombres, mais aussi la bienveillance.
Sur le poids du silence, la filiation, la transmission, un nouveau plaisir de lecture. -