Premier roman autobiographique qui s’ouvre sur une grand-mère troublée par un bruit étrange qu’elle seule entend. Son petit-fils et sa mère, intrigués, la rejoignent pour en découvrir la source.
Leur enquête les plonge dans l’effervescence du Guéliz à Marrakech, devenant pour eux un pèlerinage à travers le passé et les coutumes de ce quartier.
Ruben Barrouk rend hommage à une époque où le vivre-ensemble entre Juifs et Musulmans avait encore du sens, et ce bruit pourrait incarner la nostalgie d’un temps révolu de paix.
Ce roman, à la fois olfactif et poétique, est un plaidoyer pour la mémoire collective et l’espoir d’une cohabitation retrouvée sur une même terre. Il résonne comme un véritable message de paix, d’amour, d’écoute et de tolérance.