Issue d’une lignée de femmes marquée par une étrange malédiction, June Farrow décide de briser ce cycle mystérieux en explorant un passage vers le Temps, juste après la mort de sa grand-mère.
Le roman nous plonge alors dans un univers où le destin et les maléfices se mêlent inextricablement, où les personnages, authentiques et élaborés, portent chacun leurs secrets, enrichissant une intrigue solidement construite.
L’ajout subtil de l’élément fantastique confère une dimension supplémentaire au récit.
La prose poétique de A. Young navigue entre deux mondes aux histoires entrelacées. Malgré cet imbroglio temporel, la résolution finale est à la hauteur des attentes, offrant une conclusion qui justifie pleinement le voyage captivant à travers « La porte rouge ».