Margaret Maher n’est d’abord que “la bonne” d’origine irlandaise, au service des riches Dickinson.
Mais elle a du caractère et surtout va jouer un rôle majeur auprès d’Emily, qui écrit de sublimes poèmes et est si lumineuse.
Après ce très beau roman, une seule envie : vite, découvrir ces poèmes d’Emily Dickinson.