Rien ne semblait prédisposer Alain Pacadis à devenir l’icône glam-punk des nuits parisiennes fin 70. Pas franchement taillé pour, un physique ingrat, un peu de guingois, loin des canons esthétiques d’un showbiz surclinquant. Et pourtant très vite, il aura ses entrées au Palace, haut lieu branché de l’époque, devenant l’une de ses figures emblématiques.
Au fil de la narration, on s’attache à ce personnage tragique, déglingué, hors normes, figure d’une époque pour le coup bien révolue.