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Un roman au cordeau, oppressant à souhait. Le soliloque de la femme est terrible : la description de son quotidien est précis, quasi méticuleux, sans emphase, puis vient le constat – sans appel. La parole jaillit enfin – là voilà libérée. Celui du mari est violent, on perçoit une absence totale d’empathie. Il œuvre sans aucun état d’âme. Il restera taiseux jusqu’au bout.
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