1993. La jeune Polina s’installe en France avec sa mère et sa sœur.
Entamant le récit de ses démarches administratives pour récupérer son prénom russe, elle retrace ses dernières années à Moscou au cours desquels elle cacha son judaïsme, son chat, sa peur du nouveau langage français, la maladie de sa mère…
A 31 ans, Polina aura perdu son accent et ses ancêtres mais récupéré son prénom.
Récit intime, drôle, culturel, trouvant une stabilité entre deux idiomes.