Frédérique Voruz nous conte par le menu son quotidien d’enfant brisé – la fratrie n’est en rien épargné. Alors il s’entraide chacun et réussisse tant bien que mal à surnager dans ce climat malsain. Sans auto-apitoiement, avec humour parfois, la narratrice se livre…et on ne peut que louer ce long travail de reconstruction.