Alexis Anne-Braun rend très bien compte de cet effort collectif engagé pour réfléchir à une organisation différente de la vie matérielle et affective des hommes ; d’une communauté de croyants à la justice, à l’amour, la réparation, renouant les rapports au vivant.
Chacun y avoue sa vie, ses amours, donnant une touche romanesque à ce récit de rage soutenu par une narration fluide et soignée, dans un remue-ménage de corps et d’idées, de sueurs et d’intuitions …