C’est ce dont Laura Paggioli veut témoigner, romançant les faits à rebours, alternant avec son vécu personnel des violences intrafamiliales banalisées dans ce pays où les soutiens sont rares. Les constatations sont édifiantes et l’auteur partage pleinement cette ambivalence entre l’amour pour un pays et l’emprisonnement dans la violence de coupables impunis. Le confinement n’a pas arrangé la situation de la liberté des femmes.
Premier roman brillant et saisissant.