Gaëlle fuit, à la mort tragique de son frère bien-aimée Arthur, avec pour seul but, aller disperser ses cendres sur l’Ile d’Aval. Férus d’aventures et légèrement casse-cou, les deux vivaient une adolescence heureuse, en parfaite symbiose. C’est donc naturellement, en faisant fi de l’angoisse de ses parents, qu’elle s’évade. Cette odyssée sera marquée par la rencontre avec la mystérieuse « femme en blanc » qui l’aidera à poursuivre son chemin et à trouver un sens à sa vie. Un romantisme aventureux émane de ces pages, on est emporté par la fougue de cette fille, « taillée à la serpe », qui ne fait pas dans la demi-mesure, éprise de liberté – la vraie