Comme à chaque fois chez McMurtry, le charme opère dès les premières pages, on se laisse volontiers porter par ce quotidien rude, ces personnages si particuliers et si attachants. Et comment ne pas être sensible à cette (ces) histoires(s) d’amour loin des conventions de l’époque. Ainsi fait – et comme à chaque fois, on referme le livre, ivre de mélancolie.