Que j’aime ce sentiment lorsqu’à la fin de la première page, je sais que je ne vais pas lâcher ma lecture du week-end. Là, le plaisir est total. L’histoire nous prend aux tripes mais ça, ça arrive, que l’émotion vienne de l’écriture, des phrases, des mots, ça aussi ça arrive. Les deux ensemble, c’est beaucoup plus rare. Un retour aux années 90 amer et douloureux du côté de l’est de la France socialement meurtri.
A LIRE ABSOLUMENT