La plume est agréable, la lecture reste fluide malgré quelques moments de ralentissements causés par des descriptions trop présentes et parfois sans fins. L’histoire est assez originale mais n’est pas non plus transcendante, le sujet des réalités virtuelles a été utilisé à plusieurs reprises. Player One m’a d’ailleurs fait penser à deux mangas, Accel World et Sword Art Online. Cependant Ernest Cline arrive à tirer son épingle du jeu.
J’ai dévoré cet ouvrage. C’est un très bon livre qui vise de manière général les « geeks », ceux d’aujourd’hui puisque le style d’écriture se rapproche plus des adolescents et jeunes adultes. Mais également ceux des années 80, avec toutes les références qui parsèment l’ouvrage.