Une ode au théâtre, à la création artistique et à l’amour, qui semblent être les seuls remparts valables contre la guerre et la barbarie, si l’on en croit cet immense auteur estonien qui nous avait déjà transporté.e.s avec L’homme qui savait la langue des serpents.
Chez Le Tripode.
Traduit de l’estonien par Jean Pascal Ollivry.