Le mot du libraire : « La personne souffrant de troubles de santé mentale est d’abord une personne, sujet de droit et de devoir, capable d’intelligence et de progrès, qui a toute sa place dans le monde. »
Fin des années 50. Anne, 18 ans, est envoyée travailler à l’hôpital de Falret, un centre psychiatrique pour enfants et adolescents. L’appréhension de côtoyer des « fous » va vite se muer en tendresse pour les résidents et en belles amitiés.
Bien des années plus tard, Sophie, étudiante en psychologie, écrit une thèse sur les hôpitaux psychiatriques de l’après-guerre. La découverte de la correspondance d’Anne et du journal intime de Béatrice, ancienne pensionnaire de Falret, vont enrichir son travail et sa vie.
Un roman tout en délicatesse et en poésie, que l’on ne lâche plus et que l’on regrette un peu d’avoir terminé.