Partant de l’émotion qu’aurait suscité en Samuel Beckett le tableau “Deux hommes contemplant la lune” de Caspar David Friedrich lors d’un voyage à Dresde en 1937, Lambert tisse une passionnante et poignante réflexion sur l’influence de l’art sur l’art, en l’occurrence de la peinture sur la littérature. Un essai d’une élégance folle comme on aimerait en lire plus souvent.