Un fils raconte l’amour fou de ses parents l’un pour l’autre. Depuis le début, Georges joue le jeu et c’est la fête à la maison autour de l’extravagante et imprévisible Louise. Même si le livre est rythmé par le slow de Nina Simone « Mr Bojangles », leur vie ressemble à un tourbillon, une valse éperdue, sensuelle. Tous les trois se vouent une admiration sans borne sous les yeux de Melle Superfétatoire et l’Ordure, sénateur grand ami de la famille.
Une histoire d’amour fou. Un jeu de rôles où personne n’est dupe, sans l’avouer. Tous jouent le jeu de la fête éternelle. Le fils a très vite compris que leur vie n’étaient pas la vraie vie et qu’il doit mentir, ne pas mélanger les deux mondes. Derrière les feux de la rampe, il y a le désespoir de la folie. Vouloir arrêter le temps, ne pas ouvrir le courrier, boire des cocktails avec les amis, fuir la réalité, avoir un château en Espagne… Entre les pages du fils, il y a le journal du père. Si le petit garçon vit cette illusion au premier degré, Georges sait, dès le début, que les dés sont pipés. Il vit en connaissance de folie, jusqu’à ce que la folie gagne. Alors, le rideau tombe sur la vraie vie qui les rattrape. L’écriture du fils est enjouée, rapide, celle du père, plus inquiète, nostalgique.
Un premier livre pétillant, comme le champagne avec un arrière-goût de fin de fête qui se lit d’une traite. Juste la bonne longueur pour apprécier. Bien sûr, j’écris cette chronique en compagnie de Nina Simone (qui a rythmé une partie de ma vie) et de Mr Bojangles.
Un fils raconte l’amour fou de ses parents l’un pour l’autre. Depuis le début, Georges joue le jeu et c’est la fête à la maison autour de l’extravagante et imprévisible Louise. Même si le livre est rythmé par le slow de Nina Simone « Mr Bojangles », leur vie ressemble à un tourbillon, une valse éperdue, sensuelle. Tous les trois se vouent une admiration sans borne sous les yeux de Melle Superfétatoire et l’Ordure, sénateur grand ami de la famille.
Une histoire d’amour fou. Un jeu de rôles où personne n’est dupe, sans l’avouer. Tous jouent le jeu de la fête éternelle. Le fils a très vite compris que leur vie n’étaient pas la vraie vie et qu’il doit mentir, ne pas mélanger les deux mondes. Derrière les feux de la rampe, il y a le désespoir de la folie. Vouloir arrêter le temps, ne pas ouvrir le courrier, boire des cocktails avec les amis, fuir la réalité, avoir un château en Espagne… Entre les pages du fils, il y a le journal du père. Si le petit garçon vit cette illusion au premier degré, Georges sait, dès le début, que les dés sont pipés. Il vit en connaissance de folie, jusqu’à ce que la folie gagne. Alors, le rideau tombe sur la vraie vie qui les rattrape. L’écriture du fils est enjouée, rapide, celle du père, plus inquiète, nostalgique.
Un premier livre pétillant, comme le champagne avec un arrière-goût de fin de fête qui se lit d’une traite. Juste la bonne longueur pour apprécier. Bien sûr, j’écris cette chronique en compagnie de Nina Simone (qui a rythmé une partie de ma vie) et de Mr Bojangles.